Marc Ferrero et le STORYTELLING ART ...
Une idée contemporaine :
La narration d’une histoire en peintures :
Ainsi naquit le STORYTELLING ART…
Imaginez un lieu consacré à la narration d’une aventure contemporaine : Une mise en scène proposée au public à travers les méandres d’une épopée New Yorkaise, composée d’huiles et d’acryliques sur toiles grands formats et organisée en de multiples combinaisons murales !
Cette histoire a pour nom : « Il était une fois La comitive », elle est racontée et illustrée par Marc FERRERO artiste peintre français de 45 ans .En 1999 il crée son atelier galerie à EZE (entre Nice et Monaco) où amateurs, collectionneurs, et professionnels viennent acquérir, ou passer commande d’œuvres liées à son projet. Des personnages récurrents, un esprit de club (les membres de la Comitive) A ce jour plus de 2 000 œuvres ont été vendues.
Son objectif aujourd’hui est de travailler sur un projet artistique global ayant pour but de présenter ce nouveau mouvement émergent dans l’Art contemporain qu’il a surnommé LE STORYTELLING ART sur la scène artistique Française et internationale.
I. PRESENTATION DU MOUVEMENT ARTISTIQUE : LE STORYTELLING ART
1/ DEFINITION
L’alliance entre le storytelling, forme de discours spécifique utilisant le vecteur narratif et l’art comme moyen d’expression.
Il s’agit de valoriser, d’orienter la création artistique en la fondant sur la narration d’une histoire.
A l’origine on pourrait faire remonter le STORYTELLING ART aux peintures rupestres.
L’art a toujours raconté des histoires (les grandes batailles, la bible, la mythologie) mais la différence aujourd’hui est cette proximité avec notre réalité, l’art acquiert ainsi la même fonction légitimante que remplissent les fables et leur morale, les fictions efficaces et les récits utiles.
Sorte de conte philosophique, le STORYTELLING ART dénonce les dérives d’une société inefficace.
Le STORYTELLING ART a ses propres héros dans lesquels le spectateur peut s’identifier, il comporte aussi des éléments d’intrigue qui tiennent le spectateur en haleine, tromperies, meurtre, trahison, jalousie, conflits , autant d’éléments qui peuvent être le point de départ à une réflexion individuelle. La nouveauté : les messages sont plus philosophiques que politiques
L’art devient le vecteur d’un univers fictif mais proche du réel , un monde scénarisé et développé par l’artiste. Echanger des récits constitue pour l’artiste un moyen de rendre intelligible sa vision du monde et donc de la partager.
L’univers narratif permet également au public de s’évader ce qui est également une des vocations de l’art, une nouvelle façon de toucher l’émotionnel à travers l’Art contemporain.
2/ POSITIONNEMENT DE CE MOUVEMENT DANS L’HISTOIRE DE L’ART
Comme tout nouveau mouvement LE STORYTELLING ART puise ses sources dans différents courants artistiques :
La Figuration narrative : les personnages BD réalisés par Erro, les polars bleutés de Monory trouvent des échos dans le paysage contemporain du STORYTELLING ART ;
Au-delà des thèmes il y a également la manière d’agencer les images, d’une manière rapide instinctive pour dynamiser la composition, lui rendre un effet de mouvement pour aller aussi vite que le monde alentour.
Le POP ART : Le STORYTELLING ART souhaite rendre l’art plus populaire et dépeindre la société actuelle, il se rapproche également du POP ART par sa volonté de s’adresser au plus grand nombre. Digérer, recadrer, détourner des images de la vie courante, puisant ses cadrages dans le monde du cinéma, ses effets dans la musique, dans la mode…
Au niveau plus technique par la répétition d’images, le jeu des séries, l’importance des couleurs.
3/ Quel est l’apport du storytelling art dans l’histoire de l’art :
La notion de peinture de chevalet est totalement dépassée pour intéresser toute forme de public.
Le STORYTELLING ART offre un lien possible entre différentes formes d’art : le cinéma, la littérature, la musique, l’art vidéo, les performances avec possibilité d’interaction avec le public.
Une vision de l’art plus dynamique en accord avec le monde actuel.
Raconter une histoire à partir d’une image fixe qui grâce à sa composition paraît en mouvement en utilisant un découpage en séquence.
Le STORYTELLING ART a ses propres héros dans lesquels le spectateur peut s’identifier.
LE STORYTELLING ART alimente notre imaginaire tout en nous fournissant un sentiment d’appartenance, plonger dans un univers narratif , nous engager dans une histoire crédible, offrir des récits de vie qui propose des modèles de conduite
Ces histoires racontent comment les héros de notre temps construisent un nouveau monde, un monde ou la fiction a pénétrée la vie politique au point de façonner une nouvelle économie.
Valoriser orienter la création artistique en la fondant sur la narration d’une histoire, la création d’un véritable univers avec ses codes ses héros sans les emprunter à l’iconographie existante….
Beaucoup d’artistes parlent de l’homme face au monde, le STORYTELLING ART parle de l’homme dans son propre monde.
III Marc FERRERO et LA COMITIVE :
Projet abouti de STORYTELLING ART
Poursuivre l’histoire de toile en toile, c’est toute l’originalité de l’ouvre de Marc FERRERO , créateur du Storytelling art, ainsi nommé à partir de 2003.
En fait, le mouvement naît en 1989, année décisive pour Marc Ferrero qui décide de quitter Bruxelles, ses phylactères, ses vignettes … le cadre par top étroit, trop contraignant, du dessinateur de BD. Besoin d’espace : il prend le large, hisse la toile, embarquant avec lui ses personnages et son décor ; ensemble ils reprennent le cours de leurs aventures, mais cette fois, en grand format. C’est l’entrée officielle en peinture, c’est l’initiation d’un nouveau rapport à la narration. Sur les murs.
Comme dans un film, d’une toile sur l’autre, Duke, Cello et Charly _ évincé en 2003 par la sublime Lisa L’Aventura _ déroulent l’histoire ordinaire de héros contemporains : poursuites, trahisons, jeux d’argent…. indifférents aux humeurs d’un monde urbain_ saturé, bruyant, agité, peuplé d’anonymes_ le gentleman anglais, le maître italo argentin et la diva blonde sont à leurs affaires. Au sein de la « Comitive » _ très select réseau privé où s’entretiennent les liens serrés de l’amitié_ ils affrontent les démons de leur temps.
New-York, Monaco, gratte-ciel, bitume, embouteillages, casinos, clubs de jazz, fumeries d’opium… sont les toiles de fond, le décor transcendé par ces protagonistes d’un roman qui, en cours de composition, a pris les allures d’un road-painting instigateur du Storytelling art.
En effet, au cours des dix dernières années, à la poursuite de nos trois affranchis, le support pictural a pris une nouvelle orientation : il est devenu le media d’une épopée qui se lit toile_ cliché, focus _ après toile : façon filmique, version acrylique, chaque storyboard constitue une scène qui peut être coordonnée à une autre scène ; version huile, la traditionnelle « série » devient, elle, pour les besoins du scénario, une « séquence » découpée en autant de toiles.
Chaque pièce étant unique et les combinaisons possibles pour le collectionneur se démultipliant à l’infini, il s’est agi, pour que le fil de l’histoire soit perceptible, d’assurer la continuité picturale. Cette spécificité du Storytelling art a servi d’ancrage à ses fondements conceptuels. Ainsi, Afin d’assurer la cohésion du roman graphique, l’artiste, au-delà de son trait, a développé une thématique _ La ville, ses icônes, sa société consumériste … _, une unité de palette entre les huiles et les acryliques _ Les happy colours _, un champ verbal _ les lyrics _, des techniques d’application_ les pochoirs _, qui permettent la coordination des tableaux entre eux.
Dans cette logique de jeu combinatoire et de continuité artistique, chaque collectionneur détient donc une ou plusieurs parts de l’histoire. C’est à ce titre qu’il devient membre de la Comitive Connexion. Thee CLAN!
SON ŒUVRE:
Par définition, Marc FERRERO est un artiste contemporain, il peint sa génération, affiche des idées engagées et délivre des messages à travers son art. Il est cependant beaucoup plus figuratif que la plupart des peintres actuels grâce à sa formation issue des Comics.
Si la BD fût une base de travail intéressante durant son apprentissage, l’étude des peintres de la renaissance fût capitale afin de maîtriser la peinture figurative en grand format. Enfin l’apport des techniques du cadrage cinématographique lui permettra d’insuffler un souffle nouveau quant au découpage des scènes qu’il peint.
Sa technique est la recherche d’un équilibre entre texture et finesse de trait. Son style est un mélange entre différents mouvements artistiques dont il s’inspire pour les retranscrire ensuite sous une forme plus personnelle afin de mener à bien les idées qu’il veut développer dans les scènes qu’il raconte.
Cette technique de travail innovante lui permet de créer des ambiances particulières dans les scènes qu’il peint, et ceci grâce à des compositions efficaces, des décors très documentés et des expressions marquées. Chaque œuvre possède ainsi une vie intérieure éloquente mais s’insère également dans une continuité ayant une place précise dans la narration de l’histoire.
Toujours aller dans le sens de l’histoire dans tous les sens du terme, tel est son but !
Lorsqu’il parle de sa méthode de travail, il se réfère plutôt au monde du cinéma et plus précisément à la « METHOD ACTING » de « l’ACTOR’S STUDIO » enseignée à New York par Stella ADLER dans les années 30 et qui permettra l’éclosion de bon nombre des plus grands acteurs que le cinéma ait compté : BRANDO, DE NIRO, AL PACINO, MERYL STREEP …
« IL ETAIT UNE FOIS LA COMITIVE … »
Le premier volume de l’histoire fût publié en 1999 à compte d’auteur et distribué en France dans toutes les FNAC (tournées de séances de dédicaces dans tout le pays) et en Grande Bretagne et USA par DIAMOND COMICS (dont les 350 toiles ont été vendues). Il s’agissait d’une sorte de prologue, réalisé essentiellement en Noir et Blanc car faisant appel aux flash back.
Ce prologue nous présente deux puis trois personnages masculins débattant autour de scènes de jeux. Le jeu n’est-il pas le point de départ de toute aventure ?
Ils ont rendez-vous quelque part dans New York tard dans la soirée et ce premier ouvrage nous permet de rentrer dans leur intimité puisqu’on les accompagne tout au long de la soirée jusqu’à ce fameux rendez-vous…
La narration d’une histoire en peintures :
Ainsi naquit le STORYTELLING ART…
Imaginez un lieu consacré à la narration d’une aventure contemporaine : Une mise en scène proposée au public à travers les méandres d’une épopée New Yorkaise, composée d’huiles et d’acryliques sur toiles grands formats et organisée en de multiples combinaisons murales !
Cette histoire a pour nom : « Il était une fois La comitive », elle est racontée et illustrée par Marc FERRERO artiste peintre français de 45 ans .En 1999 il crée son atelier galerie à EZE (entre Nice et Monaco) où amateurs, collectionneurs, et professionnels viennent acquérir, ou passer commande d’œuvres liées à son projet. Des personnages récurrents, un esprit de club (les membres de la Comitive) A ce jour plus de 2 000 œuvres ont été vendues.
Son objectif aujourd’hui est de travailler sur un projet artistique global ayant pour but de présenter ce nouveau mouvement émergent dans l’Art contemporain qu’il a surnommé LE STORYTELLING ART sur la scène artistique Française et internationale.
I. PRESENTATION DU MOUVEMENT ARTISTIQUE : LE STORYTELLING ART
1/ DEFINITION
L’alliance entre le storytelling, forme de discours spécifique utilisant le vecteur narratif et l’art comme moyen d’expression.
Il s’agit de valoriser, d’orienter la création artistique en la fondant sur la narration d’une histoire.
A l’origine on pourrait faire remonter le STORYTELLING ART aux peintures rupestres.
L’art a toujours raconté des histoires (les grandes batailles, la bible, la mythologie) mais la différence aujourd’hui est cette proximité avec notre réalité, l’art acquiert ainsi la même fonction légitimante que remplissent les fables et leur morale, les fictions efficaces et les récits utiles.
Sorte de conte philosophique, le STORYTELLING ART dénonce les dérives d’une société inefficace.
Le STORYTELLING ART a ses propres héros dans lesquels le spectateur peut s’identifier, il comporte aussi des éléments d’intrigue qui tiennent le spectateur en haleine, tromperies, meurtre, trahison, jalousie, conflits , autant d’éléments qui peuvent être le point de départ à une réflexion individuelle. La nouveauté : les messages sont plus philosophiques que politiques
L’art devient le vecteur d’un univers fictif mais proche du réel , un monde scénarisé et développé par l’artiste. Echanger des récits constitue pour l’artiste un moyen de rendre intelligible sa vision du monde et donc de la partager.
L’univers narratif permet également au public de s’évader ce qui est également une des vocations de l’art, une nouvelle façon de toucher l’émotionnel à travers l’Art contemporain.
2/ POSITIONNEMENT DE CE MOUVEMENT DANS L’HISTOIRE DE L’ART
Comme tout nouveau mouvement LE STORYTELLING ART puise ses sources dans différents courants artistiques :
La Figuration narrative : les personnages BD réalisés par Erro, les polars bleutés de Monory trouvent des échos dans le paysage contemporain du STORYTELLING ART ;
Au-delà des thèmes il y a également la manière d’agencer les images, d’une manière rapide instinctive pour dynamiser la composition, lui rendre un effet de mouvement pour aller aussi vite que le monde alentour.
Le POP ART : Le STORYTELLING ART souhaite rendre l’art plus populaire et dépeindre la société actuelle, il se rapproche également du POP ART par sa volonté de s’adresser au plus grand nombre. Digérer, recadrer, détourner des images de la vie courante, puisant ses cadrages dans le monde du cinéma, ses effets dans la musique, dans la mode…
Au niveau plus technique par la répétition d’images, le jeu des séries, l’importance des couleurs.
3/ Quel est l’apport du storytelling art dans l’histoire de l’art :
La notion de peinture de chevalet est totalement dépassée pour intéresser toute forme de public.
Le STORYTELLING ART offre un lien possible entre différentes formes d’art : le cinéma, la littérature, la musique, l’art vidéo, les performances avec possibilité d’interaction avec le public.
Une vision de l’art plus dynamique en accord avec le monde actuel.
Raconter une histoire à partir d’une image fixe qui grâce à sa composition paraît en mouvement en utilisant un découpage en séquence.
Le STORYTELLING ART a ses propres héros dans lesquels le spectateur peut s’identifier.
LE STORYTELLING ART alimente notre imaginaire tout en nous fournissant un sentiment d’appartenance, plonger dans un univers narratif , nous engager dans une histoire crédible, offrir des récits de vie qui propose des modèles de conduite
Ces histoires racontent comment les héros de notre temps construisent un nouveau monde, un monde ou la fiction a pénétrée la vie politique au point de façonner une nouvelle économie.
Valoriser orienter la création artistique en la fondant sur la narration d’une histoire, la création d’un véritable univers avec ses codes ses héros sans les emprunter à l’iconographie existante….
Beaucoup d’artistes parlent de l’homme face au monde, le STORYTELLING ART parle de l’homme dans son propre monde.
III Marc FERRERO et LA COMITIVE :
Projet abouti de STORYTELLING ART
Poursuivre l’histoire de toile en toile, c’est toute l’originalité de l’ouvre de Marc FERRERO , créateur du Storytelling art, ainsi nommé à partir de 2003.
En fait, le mouvement naît en 1989, année décisive pour Marc Ferrero qui décide de quitter Bruxelles, ses phylactères, ses vignettes … le cadre par top étroit, trop contraignant, du dessinateur de BD. Besoin d’espace : il prend le large, hisse la toile, embarquant avec lui ses personnages et son décor ; ensemble ils reprennent le cours de leurs aventures, mais cette fois, en grand format. C’est l’entrée officielle en peinture, c’est l’initiation d’un nouveau rapport à la narration. Sur les murs.
Comme dans un film, d’une toile sur l’autre, Duke, Cello et Charly _ évincé en 2003 par la sublime Lisa L’Aventura _ déroulent l’histoire ordinaire de héros contemporains : poursuites, trahisons, jeux d’argent…. indifférents aux humeurs d’un monde urbain_ saturé, bruyant, agité, peuplé d’anonymes_ le gentleman anglais, le maître italo argentin et la diva blonde sont à leurs affaires. Au sein de la « Comitive » _ très select réseau privé où s’entretiennent les liens serrés de l’amitié_ ils affrontent les démons de leur temps.
New-York, Monaco, gratte-ciel, bitume, embouteillages, casinos, clubs de jazz, fumeries d’opium… sont les toiles de fond, le décor transcendé par ces protagonistes d’un roman qui, en cours de composition, a pris les allures d’un road-painting instigateur du Storytelling art.
En effet, au cours des dix dernières années, à la poursuite de nos trois affranchis, le support pictural a pris une nouvelle orientation : il est devenu le media d’une épopée qui se lit toile_ cliché, focus _ après toile : façon filmique, version acrylique, chaque storyboard constitue une scène qui peut être coordonnée à une autre scène ; version huile, la traditionnelle « série » devient, elle, pour les besoins du scénario, une « séquence » découpée en autant de toiles.
Chaque pièce étant unique et les combinaisons possibles pour le collectionneur se démultipliant à l’infini, il s’est agi, pour que le fil de l’histoire soit perceptible, d’assurer la continuité picturale. Cette spécificité du Storytelling art a servi d’ancrage à ses fondements conceptuels. Ainsi, Afin d’assurer la cohésion du roman graphique, l’artiste, au-delà de son trait, a développé une thématique _ La ville, ses icônes, sa société consumériste … _, une unité de palette entre les huiles et les acryliques _ Les happy colours _, un champ verbal _ les lyrics _, des techniques d’application_ les pochoirs _, qui permettent la coordination des tableaux entre eux.
Dans cette logique de jeu combinatoire et de continuité artistique, chaque collectionneur détient donc une ou plusieurs parts de l’histoire. C’est à ce titre qu’il devient membre de la Comitive Connexion. Thee CLAN!
SON ŒUVRE:
Par définition, Marc FERRERO est un artiste contemporain, il peint sa génération, affiche des idées engagées et délivre des messages à travers son art. Il est cependant beaucoup plus figuratif que la plupart des peintres actuels grâce à sa formation issue des Comics.
Si la BD fût une base de travail intéressante durant son apprentissage, l’étude des peintres de la renaissance fût capitale afin de maîtriser la peinture figurative en grand format. Enfin l’apport des techniques du cadrage cinématographique lui permettra d’insuffler un souffle nouveau quant au découpage des scènes qu’il peint.
Sa technique est la recherche d’un équilibre entre texture et finesse de trait. Son style est un mélange entre différents mouvements artistiques dont il s’inspire pour les retranscrire ensuite sous une forme plus personnelle afin de mener à bien les idées qu’il veut développer dans les scènes qu’il raconte.
Cette technique de travail innovante lui permet de créer des ambiances particulières dans les scènes qu’il peint, et ceci grâce à des compositions efficaces, des décors très documentés et des expressions marquées. Chaque œuvre possède ainsi une vie intérieure éloquente mais s’insère également dans une continuité ayant une place précise dans la narration de l’histoire.
Toujours aller dans le sens de l’histoire dans tous les sens du terme, tel est son but !
Lorsqu’il parle de sa méthode de travail, il se réfère plutôt au monde du cinéma et plus précisément à la « METHOD ACTING » de « l’ACTOR’S STUDIO » enseignée à New York par Stella ADLER dans les années 30 et qui permettra l’éclosion de bon nombre des plus grands acteurs que le cinéma ait compté : BRANDO, DE NIRO, AL PACINO, MERYL STREEP …
« IL ETAIT UNE FOIS LA COMITIVE … »
Le premier volume de l’histoire fût publié en 1999 à compte d’auteur et distribué en France dans toutes les FNAC (tournées de séances de dédicaces dans tout le pays) et en Grande Bretagne et USA par DIAMOND COMICS (dont les 350 toiles ont été vendues). Il s’agissait d’une sorte de prologue, réalisé essentiellement en Noir et Blanc car faisant appel aux flash back.
Ce prologue nous présente deux puis trois personnages masculins débattant autour de scènes de jeux. Le jeu n’est-il pas le point de départ de toute aventure ?
Ils ont rendez-vous quelque part dans New York tard dans la soirée et ce premier ouvrage nous permet de rentrer dans leur intimité puisqu’on les accompagne tout au long de la soirée jusqu’à ce fameux rendez-vous…