Miouchka

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Sarha (1945)

Sarha (1945)

Elle était rentrée enfin chez elle, mais plus rien n'était comme avant, elle avait mis un an pour trouver le courage de revenir là où tout avait commencé.

7 coups de cœur |

5 coups de technique

Artiste : Miouchka | Voir ses œuvres | dessin | Visite : 248

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Commentaires

Phil Daydé

Retrouver une vie normale après l'horreur, c'est pratiquement impossible... Pourtant, des femmes et des hommes ont voulu y croire, comme Sarah, après la guerre, et ils ont eu raison. L'espoir qui les a fait tenir a pu leur servir à nouveau pour renaître... Bonne soirée Betty, gros bisous.

marie-cé

L'arrachement à la terre natale est une plaie qui jamais ne se referme vraiment. ma mère, Lorraine de la région de Nancy, a connu dans ses années là, l'exode, le midi la recueillie comme tant de familles de l'est. Et puis le temps a passé…… Bravo Miouchka pour toutes vos belles créations. Bien à vous.

melodie

Tout a été dit par nos artistes alors bravo pour ton dessin et bonne nuit Betty bise

Miouchka

oui Marie-cé" je comprends d'autant plus que ma maman fuyant le franquisme, était revenue un jour revoir sa maison,à Melilla enclave Espagnole, ce fût une douleur phénoménales , car son papa avait été assassiné à l'époque, elle avait tout revécu, la faim, le chagrin, l'errance ....comme je comprends votre maman, elle aussi déracinée...merci beaucoup pour ce que vous dites...et belle journée Marie-cé!

Miouchka

Merci chère mélodie, tu me souhaites bonne nuit, et moi je te souhaite une bonne et belle journée gros bisous :)

Artanita

Sarah... c'etait mon prénom...dans une autre vie...elle est ravissante,la votre de SARHA...Miochka...besos mon Amie

Miouchka

Merci Sarah qui sait...tout est possible, merci Artanita pour ton message besos amistad.

Miouchka

Miouchka Oui , Phil, surtout que la plupart qui avaient la chance de revenir , trouvaient leur maison le plus souvent occupée par des personnes qui croyaient qu'elles ne reviendraient plus jamais, et tiraient profit de ces avantages, bien souvent après les avoir dénoncé à la Gestapo ces pauvres gens...Imagines la perte, le chagrin ,d'avoir perdu les siens, au moins retrouver leur maison, et on les jetait dehors, il leur fallait refaire leur vie comme ils pouvaient....quelle terrible injustice......gros bisous professeur Phil:) merci pour ce commentaire...

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