Philjazz

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Paysanne d'après Vincent

Paysanne d'après Vincent

Dessin au crayon. ( tête de paysanne) d'après Vincent . 21/14,5.

7 coups de cœur |

4 coups de technique

Artiste : Philjazz | Voir ses œuvres | dessin | Visite : 76

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Commentaires

Philjazz

Je l'ai mise sur fond rouge pour donner plus de vie car l'originale est sur fond sombre comme Vincent peignait ces paysans dans leur environnement hollandais souvent en automne ou en hiver. Bonne année à tous et merci .

Philjazz

Je l'ai mise sur fond rouge pour donner plus de vie car l'originale est sur fond sombre comme Vincent peignait ces paysans dans leur environnement hollandais souvent en automne ou en hiver. J'ai rehaussé de stylo bille par endroits. Bonne année à tous et merci .

Lapinvert

Bonjour... J'aime bien.. Le style de Vincent. v. Réussi..... Pour toi aussi Pas mal...les couleurs crayons pastel

Philjazz

Merci Lapinvert. Toujours matinal. Bonne journée. Cela me donne l'idée de te donner ce poème sur un petit bruit provoqué par les dents de l'aimée croquant une cerise et qui bouleverse l'aurore du monde. Je t'offre, je vous offre un de mes poèmes extrait de mon livre de textes et poèmes "les lueurs de l'âme". " Rouge cerise au seuil de la vie" " Plus grande encore cette nuit, parcelle de la ronde du temps, l'aurore est là cette fois afin de casser la chaîne, les maillons de l'ennui, comme à l'aube du monde, a l'aube de la raison et de l'amour, les chaînes sont brisées. Les arbres donnent les écus de l'or, les oiseaux viennent effleurer tes cheveux, les petites mèches de ta vie... et des cerises vivent comme ta bouche , à l'orée d'une forêt ou au milieu d'une clairière, petite place de soleil. Dans le vert de l'herbe mouillée, une cerise rouge et brillante vient de tomber, comme cela par hasard à l'aube d'une vie, à l'orée d'une bouche et un regard plane sur la Terre. Tu es ici et le frêle bruit de tes dents croquant le fruit léger, résonne sur la Terre, rayonne sa pureté. Quand, un matin, surgit le bruit rieur, le monde écoute, le monde a peur. Un geste dans l'aurore et les arbres et leurs oiseaux, à la place qu'ils gardaient depuis des siècles, ont été apeurés eux aussi juste par cette cerise rouge rouge. Tes lèvres enfin on goûté la rosée, bu l'eau du matin et le jour est venu. Le soleil à luit et redonné vie à un autre arbre, une autre cerise, à l'orée de la vie, au seuil du jour. Et toi, tu croqueras encore la cerise et le bruit de tes dents brisera tout seul et tous les jours les chaînes du monde, les citadelles du manque d'amour".

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