Leïlah Mahi

Leïlah Mahi

Acrylique 26*34 .Janv.2019 . inspiré par photo du livre de Didier Blonde .Leïlah Mahi-1932 et comme lui fasciné par ce regard , cette sensualité , qui me donnèrent une folle envie de la peindre -.« Est-ce l'éclat sombre de la passion ou celui de la folie qui brille au fond de ses yeux ? Deux grands yeux maquillés d'un cerne ténébreux, aux prunelles hypnotiques, qui me fixent, me fascinent, m'attirent irrésistiblement, comme un phalène. Des yeux si larges, brouillés de fièvre, en noir et blanc.

11 coups de cœur |

5 coups de technique

Artiste : GHYVES | Voir ses œuvres | peinture | Visite : 467

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Commentaires

Za.L.D.

impressionnant!

marie-cé

Magnifique. Où l'on retrouve parfaitement les photos d'époque et cet éclairage particulier. Un grand bravo.

melodie

Un tres grand bravo c est du beau travail

Magali RR

Délicieusement rétro

ARIBAMBEL

Toute la beauté du Noir et blanc, avec des ombres réchauffées de la caresse d'une rose sur le sein, c'est vrai que ce portrait est fascinant !

GHYVES

Merci à tous ; ci-joint mon poème : Je pris plaisir alors à te refaire paraître, Du pays des morts, à donner ma lumière. Je palis ton front, je noircis ton regard. Je caressai ton visage, embrassai tes lèvres. Tout en toi par mes pinceaux me rendait hagard. Les voiles levés me donnèrent la fièvre. Leilah , comme une danseuse orientale Tu m’envoutais, tandis que roulaient les tambours. Je te trainais dans la Casbah, dans le dédale. Tu étais ma compagne interdite à l’amour. Mais tu restais pour moi un sacré mystère Devenue mienne tu ne m’appartenais pas. Tu étais là, distante, sans vouloir l’adultère. J’étais donc condamné à te voir devant moi, Raillé, moqué par ce léger sourire narquois. Combien sont-ils ceux qui t’ ont écrit et peints ? Ceux qui en vain t’ont approchée et t’ont aimée ? A cause de toi, malgré toi, tous ces destins Durant ta vie, durant ta mort, ont chaviré. Ai-je vraiment envie d’en savoir plus sur toi ? Alors que de toi je peux tout imaginer. J’aurais tant voulu être accroché à tes bras Pour enfin , à la librairie m’accompagner.

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