A mes yeux, une plastique irréprochable : la douceur côté face et le déchirement, les fibres à nu, côté pile. Trapue, robuste, qui d'autre que la nature aurait pu concevoir une telle oeuvre ? Un miracle, donc... Voici un sixain qui m'est venu l'année d'après, pour illustrer cette pièce: Au parloir des étoiles, Peine ancienne s'allège ; Tombent alors les voiles Et tout se désagrège : Le regard sur soi-même et le décor de toile, L' illusoire destin, les sombres florilèges...
Artiste : Patrice Cosnuau | Voir ses œuvres | autre | Visite : 567
"Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'artiste est interdite"
Ajouter un commentaire