Olivier georgeon

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« J’attends de mes photos non pas qu’elles reflètent la réalité mais qu’elles la réfléchissent. »
La rue n’est pas qu’un lieu de passages ; elle est aussi théâtre de sensations. En figeant l’humain dans son mouvement, j’en extrais sinon l’âme du moins un sentiment, une pulsion, une pensée, une fulgurance, une anomalie, une folie, un silence, une imperfection, une transcen-dance qui le traverse. J’aime capter ces instants anonymes emplis d’humeurs, de ressentis, de vibrations, de désirs, d’incertitudes, de couleurs, qui, si on ne les emprisonne pas dans un filet de pixels, traversent les rues, les boulevards, les jardins, les plages, les églises, les marchés... sans laisser de traces.
J’ai opté pour la plus nature, la plus instantanée des techniques : zéro retouche. Je vous invite à suivre le mouvement: il va vous transporter dans l’imaginaire. Jamais l’ailleurs ne fut aussi proche. Il est en chacun de nous.
The street is not just a passing place, but also a theater of sensations .By freezing the human being in its movement, I dig out its soul or at least a feeling, a drive, a thought, a dazzling speed, an anomaly, a folly, a silence, an imperfection, a transcendence which goes through it. I love capturing these anonymous moments filled with moods, feelings, vibrations, desires, uncertainties, colors that, if someone does not trap them in a net of pixels, go through the streets, the boulevards, the gardens, the beaches, the churches, the marketplaces … without a trace.
I opted for the lifest, the most instantaneous of all techniques: zero retouch. I invite you to follow the movement: it will take you back to the imaginary world. Elsewhere has never been so close. It is in each and every one.

STREET-TEASE

La rue n’est pas qu’un lieu de passages ; elle est aussi théâtre de sensations. En figeant l’humain dans son mouvement, j’en extrais sinon l’âme du moins un sentiment, une pulsion, une pensée, une fulgurance, une anomalie, un silence, une transcendance, une folie qui le traverse. J’aime capter ces instants anonymes emplis d’humeurs, de ressentis, de vibrations, de désirs, d’incertitudes qui, si on ne les emprisonne pas dans un filet de pixels, traversent les rues et les boulevards sans laisser de traces.
J’ai opté pour la plus nature des techniques : zéro retouche.