La Matière
Il est né à Carcassonne. Diplômé des Beaux Arts de Toulouse, il enseigne les Arts Pastiques.
Après de nombreuses années passées à Montpellier il s’est installé en Lozère avec sa famille. Choix de vie qui s’est imposé à lui naturellement d’une part parce que son épouse en est originaire et d’autre part pour privilégier une certaine tranquillité et qualité de vie qui ne peut être que propice à sa création.
La peinture de Jacques Almerge n’est pas à voir mais à recevoir. C’est une rêverie autour de différentes matières, qui sont rares ou précieuses ou tout au contraire pauvres et quelconques.
C’est un peintre authentique, il joue avec le magma pictural, blesse ci et là certains espaces ou en conjure d’autres avec douceur.
Il intègre des matériaux non académiques dans ses travaux, et les mélange.
Il travaille la matière à l’aide de « matériaux pauvres » et se sert de la technique du collage, de l’empâtement , du grattage, de la déchirure, du gommage et du griffonnage.
Ses matières ne sont pas statiques, elles sont mises en mouvement par un geste.
Ses tableaux présentent un relief important, une texture épaisse.
Jacques Almerge se dégage de toute représentation pour arriver à une abstraction dotée d’une charge émotionnelle intense.
Ce qui est recherché, attendu, espéré, dans ce travail, c’est de ne rien imposer, mais de solliciter, chez celui qui se laisse entraîner à le découvrir. L’objectif est atteindre une simplicité authentique qui laisse place au mystère.
Il n’y a rien à interpréter, simplement se laisser pénétrer comme si la toile avait quelque chose à nous dire.
Ces surfaces maculées, rayées ou au contraire vacantes ; ces gris ces ocres, ces bruns, ces couleurs sales, ces lettres ou chiffres : n’est ce pas ce qu’à chaque pas nous découvrons autour de nous, sur les murs de nos villes, nos trottoirs, nos portes, dans cette décharge de gestes, d’objets, de matières insignifiants qui sont notre quotidien et cette peinture nous conduit à voir comme pour la première fois.
Le travail de Jacques Almerge est une invitation à voir au delà de l’action déposée sur la toile, dans cette fluidité entre le visible et le ressenti. Rendre sensible cet espace qui donne naissance à la forme, cet instant de passage délicat, subtil, entre l’onde et la matière.
Son travail a une grande profondeur et originalité.
Après de nombreuses années passées à Montpellier il s’est installé en Lozère avec sa famille. Choix de vie qui s’est imposé à lui naturellement d’une part parce que son épouse en est originaire et d’autre part pour privilégier une certaine tranquillité et qualité de vie qui ne peut être que propice à sa création.
La peinture de Jacques Almerge n’est pas à voir mais à recevoir. C’est une rêverie autour de différentes matières, qui sont rares ou précieuses ou tout au contraire pauvres et quelconques.
C’est un peintre authentique, il joue avec le magma pictural, blesse ci et là certains espaces ou en conjure d’autres avec douceur.
Il intègre des matériaux non académiques dans ses travaux, et les mélange.
Il travaille la matière à l’aide de « matériaux pauvres » et se sert de la technique du collage, de l’empâtement , du grattage, de la déchirure, du gommage et du griffonnage.
Ses matières ne sont pas statiques, elles sont mises en mouvement par un geste.
Ses tableaux présentent un relief important, une texture épaisse.
Jacques Almerge se dégage de toute représentation pour arriver à une abstraction dotée d’une charge émotionnelle intense.
Ce qui est recherché, attendu, espéré, dans ce travail, c’est de ne rien imposer, mais de solliciter, chez celui qui se laisse entraîner à le découvrir. L’objectif est atteindre une simplicité authentique qui laisse place au mystère.
Il n’y a rien à interpréter, simplement se laisser pénétrer comme si la toile avait quelque chose à nous dire.
Ces surfaces maculées, rayées ou au contraire vacantes ; ces gris ces ocres, ces bruns, ces couleurs sales, ces lettres ou chiffres : n’est ce pas ce qu’à chaque pas nous découvrons autour de nous, sur les murs de nos villes, nos trottoirs, nos portes, dans cette décharge de gestes, d’objets, de matières insignifiants qui sont notre quotidien et cette peinture nous conduit à voir comme pour la première fois.
Le travail de Jacques Almerge est une invitation à voir au delà de l’action déposée sur la toile, dans cette fluidité entre le visible et le ressenti. Rendre sensible cet espace qui donne naissance à la forme, cet instant de passage délicat, subtil, entre l’onde et la matière.
Son travail a une grande profondeur et originalité.