l'art du pendentif

Bien sûr le travail doit obéir à un processus pour qu’il soit mature et vigilant. L’idée est devenu, au fur et à mesure, pour moi une histoire, une philosophie à vrai dire. Ça commence auprès de mes origine berbères ou j’avais eu l’occasion de savoir comment les berbères, avant l’islam, ont fait d’un arbre un lieu de cérémonie, d’allégresse par un cocktail de patchwork suspendu a fin de se débarrasser des males chances et mauvais esprits, et comment aussi ont abusé des couleurs dans le costume traditionnel chez la femme avec des files multicolores suspendus au niveau de la tête et au milieu. La suspension représente aussi pour moi le repos, la détente et aussi la mort. En faite il faut voir au delà du sujet même si on peut dévoiler l’ensemble du travail, avec un simple regard et c’est ce qu’il lui rend simple mais excessif de force et bien sûr d’expression.
Au jadis, les arabes, pendant l’âge pré-islamique, avaient pendu les poésies (les sept pendentifs) sur les murs de la Kaaba le lieu le plus sacré chez eux, et c’est la raison à la quelle ils avaient mis en valeur leurs poésies après les avoir écrit avec l’eau de l’or.
Au Moyen Âge, dans les chaumières, la marmite était accrochée à la crémaillère au-dessus du feu, pour préparer à manger. Pendre la crémaillère symbolisait que l'emménagement était fini et qu'il était possible de préparer à manger pour tous ses amis.